Zemmourien, qui je suis

C'est maintenant, ou jamais

Non, je ne suis pas Éric Zemmour. Autant être clair, cela évitera d’éventuelles confusions. J’ai 37 ans et je suis, bien entendu, français, un de ceux qu’on appelle de « souche ». En plus, on ne peut pas faire plus enraciné, mon nom de famille est d’origine Celte ! Je n’affiche pas mon identité car, entre les « ami(es) » de notre cher Éric et le système en place, je ne manquerais pas de me faire de suite attaquer en justice pour X ou Y raisons, dans le but de me faire avant tout taire, de faire disparaître ce site qui, je l’espère, répandra la bonne parole. Restons prudents, restons cachés, je ne suis qu’une simple ouvrière dans la fourmilière.

J’ai grandi avec l’espoir d’autrefois que le Front National puisse l’emporter aux élections, car ce parti me semblait être le seul capable de vraiment changer les choses, de prendre de grandes comme de lourdes décisions. J’ai toujours basé mes choix de vie sur deux choses : L’analyse et la logique, en faisant le choix de ne jamais me voiler la face, quelle qu’en soit la tristesse.

Les dérapages de Jean Marie Le Pen et de quelques membres du parti m’ont peiné, mais n’ont en rien entaché mon désir de retrouver cette France d’antan. Cette France qui me faisait autrefois rêver à travers de nombreux films, ou que je vivais encore un peu étant jeune : Peu de délinquance, tout le monde s’aimait (ou presque), et l’immigration n’était pas encore un (grand) problème, nous n’avions que quelques mauvaises branches.

Au Front National il y avait deux types de membres :

Ceux qui étaient dominés par la peur, le rejet de l’autre, et qui voyaient le mal dans tout métissage culturel, toutefois inévitable par simple « logique » de l’évolution du monde et du mouvement des populations.

Et puis il y avait les autres, ceux dont je m’estime faire partie. Ceux qui ont compris que nous donnons trop, et même parfois plus à ceux qui viennent de par-delà nos terres, alors que nos compatriotes souffrent et sont dans le besoin. Je suis de ceux qui pensent, tracent leurs choix de vie guidés par la logique et la science, les faits : Nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde, bien que nous l’aimerions (presque) tous. Je suis de ceux qui pensent que ce n’est pas normal d’aider des personnes qui ne le méritent pas et qui vivent sur notre sol en conquérant, nous faisant souffrir par leurs exactions, tels des barbares des temps anciens à l’assaut d’une Rome en décadence. Alors que des personnes, elles-mêmes venant de leurs propres pays, ne demandent sincèrement qu’à devenir français, s’assimiler à une grande nation, à l’histoire de France, et vivre en paix, heureux.

Le Front National, car ils étaient pour moi les seuls qui n’avaient pas peur de faire face à ce système qui tente sans relâche de les faire taire, quitte à tenter de détruire leur vie. Même si l’on sait tous que la diabolisation existe et, de ce fait, cette dernière renforçant nos convictions et notre soutien, on ne put que s’attrister des écarts de conduite, parfois stupides et impardonnables de quelques-uns de ces élus.

Mais on tient le coup. Après tout, personne n’est parfait ! Les autres partis politiques ont eux aussi leurs brebis galeuses.

Et puis, il y a eu Marine. Marine, nouvelle flamme, mettant un terme au fil des années à ce stéréotype néonazi collé à la peau par nos amis les radicaux de gauche, et quelques autres branches perdues. « Merci père Le Pen », devraient-ils lui dire, pour toutes ces années où nous n’avons pas pu sortir la tête de l’eau et faire dignement face.

Marine flamboyante, repris le flambeau, une nouvelle aire d’espoir voyait le jour. La gangrène fut (presque) éradiquée, et le drapeau repris quelques belles couleurs. Battante, fatiguée de sa campagne présidentielle, et sûre que le moment était enfin arrivé, elle fit quelque faux pas lors du débat présidentiel. Inutile de citer lesquels. Les vautours n’eurent qu’à pencher la tête pour ramasser les morceaux, c’était du pain béni servi. Mais Marine se releva, encore et toujours, et plus forte.

Et puis, dans l’ombre, je suivais les dires d’un petit bonhomme. Il ne payait pas de mine, mais déjà gamin j’adorais l’écouter. Déjà gamin je sentais le petit truc qui ne demandait qu’à s’émanciper, mais je n’avais pas présagé d’un tel destin, qui, je le pense, n’a pas encore atteint ses limites.

Je n’aurai pas la prétention de me citer intellectuel ou intelligent, mais je sais observer, et j’aime écouter les hommes d’esprit. Petit Zemmour fit face au fil des années aux hordes de la bien-pensance. Et quels que soient les travaux, il vainquit. Ses détracteurs pouvaient tout essayer, même de nous faire croire qu’ils avaient le dessus, il était toujours vainqueur, et nous festoyions dans notre tête de cette énième victoire.

Puis un jour, j’ai compris quelque chose. Marine Le Pen sera un jour Présidente, mais quand tout sera déjà perdu, que le point de non-retour aura été atteint. Et puis, en parallèle, je me suis encore plus interessé à petit Zemmour. Il ne faisait pas mes 100 kg de muscles, mais lui il les avait ailleurs, mon dieu quel talent dans la rhétorique ! Je buvais ses paroles.

J’ai alors compris qu’un de ces héros rares avait émergé, et quelles étaient ses forces, capacités, sans trouver de faiblesses. Aujourd’hui, je vote et soutiens Marine, mais si Éric venait à se présenter, mon vote lui serait d’office acquis. Cet homme a plusieurs atouts que je n’ai jamais retrouvés cumulés en même temps dans un seul être dans le paysage audiovisuel français.

Premièrement, il est d’une grande intelligence. Bon, c’est courant me direz-vous. Mais sa grande force réside avant tout, dans un premier temps, dans sa capacité de mémorisation, de se souvenir, d’apprendre vite. Un surdoué caché ? A partir de cet instant, lorsque l’histoire de France, l’histoire des peuples, des guerres passées, l’histoire du monde s’imprime dans votre esprit, et que vous couplez cela à une capacité à comprendre et décortiquer ce qui vous entoure, alors tout s’emboîte parfaitement dans les cases, rien ne peut faillir. Couplez cette capacité à une élocution et rhétorique parfaite, vous obtenez un conquérant dont plus personne, ou presque, n’ose jouter par peur de finir assurément, ridiculisé. 

Marine est très intelligente et, en désaccord sur un point avec l’avis d’Éric, elle est à mes yeux une femme compétente. Toutefois, je suis de ceux qui pensent que son plus gros défaut, fardeau, sera et restera le nom de famille qu’elle porte. Dans l’esprit des gens, voter Le Pen, c’est voter non pas pour la France, mais pour un racisme qui a provoqué deux guerres mondiales.

Je pense qu’il sera trop tard quand les français dans leur majorité comprendront. Je pense qu’il faut une personne au-dessus de tous intellectuellement parlant, capable de débattre à la foi avec le cœur, conviction, et une encyclopédie gravée en elle. Nous apprenons de nos erreurs, alors, qui d’autre qu’une personne capable de se souvenir d’elles pour nous est mieux pour nous guider vers un monde en paix, le réveil français ? Il faut une personne qui, littéralement parlant, anéantisse son adversaire sur tous les fronts, jusqu’au débat présidentiel.

Aujourd’hui, il y a des vérités qui fâchent, peinent. De mon observation personnelle, je ne cesse de voir grandir le nombre de commentaires YouTube et Facebook de français avec des origines qui disent ouvertement avoir changé d’avis sur Éric Zemmour, et que, même si cela les peine quand même, « il est dans le vrai ».

Nous pouvons nous voiler la face et sombrer, ou réagir, les faits sont là, ne nous basons que sur les faits et la logique. Jetons au feux nos peluches Bisounours utopiques et ouvrons une bonne fois pour toutes les yeux, que nos enfants n’en payent pas un jour le prix. Si nous ne faisons rien, ce sera la guerre civile. Des grandes villes, la violence s’est désormais échappée pour rejoindre nos campagnes. Il ne manque qu’une petite flamme pour que la réaction en chaine se produise, et que nous entrions dans une nouvelle aire sombre de notre histoire, une boucle de violence qui n’aura de fin que lorsque la guerre sera ouvertement déclarée, et finie.

Je suis personnellement pour ce que j’appelle « la méritocratie ». Que vous soyez français dit « de souche », ou français avec des origines, je suis pour donner à ceux qui le méritent, donnent le meilleur d’eux-mêmes, s’investissent dans la nation, veulent s’intégrer et s’assimiler à ce beau pays qu’est la France. Récompensons de nouveau les justes et les bons, et sanctionnons ceux qui parasitent notre nation et entachent notre drapeau, quelles que soient leurs origines. La paix ne se gagnera que par l’union d’une poignée d’homme et de femmes qui décideront de faire face, ensemble. Mais à tout combat, il faut un chef.

Je pense qu’à ce jour un seul homme et une seule femme en seraient capables, auraient le courage de faire face au système. Mais si Éric venait à se présenter, je penserais alors France et non loyauté de mon enfance, en espérant que, en cas de victoire, ce dernier verrait la femme de valeur qu’est Marine et lui offrirait une place. Et dans le cas contraire, qu’elle oublie certains de ses propos, et l’accueille à sa table. Après tout, lorsque l’on a subi tous les maux de la terre et toutes les humiliations possibles, avec en plus un tel nom à porter, et être toujours là, toujours plus forte, alors preuve en est qu’elle est digne de confiance, et peut porter de lourdes responsabilités. Reste à en définir le degré.

Alors, 2022, est-ce que ce sera un nouveau duel Marine / Emmanuel ? Ou est ce qu’un nouveau héros descendra des gradins pour rentrer dans l’arène et combattre ? Une chose est sûre, je n’aimerais pas débattre d’un point de désaccord avec Monsieur Zemmour, digne de ce nom, car, comme certaines personnes et journalistes qui le répriment l’ont compris en restant dans leurs coins, ce serait perdu d’avance pour eux !

Et vous, si Éric Zemmour décidait de se présenter en 2022, qu’en penseriez-vous ? Seriez-vous favorable ? Est-ce que vous voteriez pour lui ou pour Marine ? N’hésitez pas à donner votre avis ou à en débattre dans les commentaires du site. Merci de votre lecture.

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